19 janvier 2010
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YQUEM est un des rares mythes qu'il faut vraiment avoir expérimenté au moins une fois dans sa vie.
Pour résumer je vais faire simple : Dans les Sauternes, il y a YQUEM et il y a les autres.
Tant que vous n'avez pas bu une fois ce vin, vous n'aurez jamais la possibilité de comprendre à quel point ce vin est exceptionnel et tellement au dessus des autres de sa catégorie.
Il est l'étalon suprême en ce qui concerne les liquoreux, celui qu'il est indispensable d'avoir bu pour pouvoir ensuite parler des autres, car ce vin est tellement inoui qu'il vous renverse les papilles.
Ce soir, pour faire plaisir à un ami, j'ai ouvert une demie-bouteille de ce nectar des dieux. C'était la première fois qu'il en buvait et j'étais heureux de lui avoir permis de connaitre cela.
Le vin exhale des arômes absolument bouleversants, qui vont de la cire d'abeille à la térébenthine, en passant par d'innombrables notes de fleurs, (surtout des roses !!), une pointe vanillée, et tellement d'autres parfums qu'il est difficile de qualifier...je vous jure que je ne mens pas, le nez de ce vin est un parfum à lui tout seul !
Je pense qu'un jour un parfumeur appellera sa création YQUEM pour témoigner de l'infinie complexité de ce breuvage époustouflant.
En bouche, ce vin offre une viscosité invraisemblable, on croit boire de l'huile tellement c'est épais !!!!
Mais c'est surtout la symphonie des parfums qui bouleverse les sens...
Seul petit bémol, la longueur en bouche (c'est d'habitude là que la magie prend une dimension hors du commun) est nettement moins impressionnante dans ce millésime que dans d'autres qu'il m'a été donné de boire.
Mais ne boudons pas notre plaisir ! SI la longueur en bouche avait été à la hauteur du nez, nous aurions eu du...2001 ou du 1988, deux millésimes légendaires à Yquem.
Là, c'était un 1998 qui m'a tout de même enchanté. Un nez pareil, et une bouche aussi dense, c'est très rare de boire cela.
Pour résumer je vais faire simple : Dans les Sauternes, il y a YQUEM et il y a les autres.
Tant que vous n'avez pas bu une fois ce vin, vous n'aurez jamais la possibilité de comprendre à quel point ce vin est exceptionnel et tellement au dessus des autres de sa catégorie.
Il est l'étalon suprême en ce qui concerne les liquoreux, celui qu'il est indispensable d'avoir bu pour pouvoir ensuite parler des autres, car ce vin est tellement inoui qu'il vous renverse les papilles.
Ce soir, pour faire plaisir à un ami, j'ai ouvert une demie-bouteille de ce nectar des dieux. C'était la première fois qu'il en buvait et j'étais heureux de lui avoir permis de connaitre cela.
Le vin exhale des arômes absolument bouleversants, qui vont de la cire d'abeille à la térébenthine, en passant par d'innombrables notes de fleurs, (surtout des roses !!), une pointe vanillée, et tellement d'autres parfums qu'il est difficile de qualifier...je vous jure que je ne mens pas, le nez de ce vin est un parfum à lui tout seul !
Je pense qu'un jour un parfumeur appellera sa création YQUEM pour témoigner de l'infinie complexité de ce breuvage époustouflant.
En bouche, ce vin offre une viscosité invraisemblable, on croit boire de l'huile tellement c'est épais !!!!
Mais c'est surtout la symphonie des parfums qui bouleverse les sens...
Seul petit bémol, la longueur en bouche (c'est d'habitude là que la magie prend une dimension hors du commun) est nettement moins impressionnante dans ce millésime que dans d'autres qu'il m'a été donné de boire.
Mais ne boudons pas notre plaisir ! SI la longueur en bouche avait été à la hauteur du nez, nous aurions eu du...2001 ou du 1988, deux millésimes légendaires à Yquem.
Là, c'était un 1998 qui m'a tout de même enchanté. Un nez pareil, et une bouche aussi dense, c'est très rare de boire cela.