22 octobre 2009
4
22
/10
/octobre
/2009
21:42
Voilà une bouteille presque mythique !
Pensez donc, une des fameuses sélections parcellaires de chez GUIGAL, la Mouline, que les amateurs du monde entier s'arrachent chaque année au début du mois de Février.
Et le millésime 1991 qui fut l'année du gel a miraculeusement épargné le Beaujolais et le nord de la Vallée du Rhône.
Du coup, c'est un très grand millésime alors que presque partout ailleurs il a mauvaise réputation.
C'est dire combien j'attendais de cette bouteille acquise début 1995 et que j'ai patiemment attendue.
Le nez est extrêmement parlant, mariant les classiques arômes sauvages de garrigue, les notes de cuir, les touches fruitées (prune, pruneau, figue) et d'autres essences comme le menthol, ou des parfums de tabac...
Un bouquet envoûtant !
En bouche, il y a beaucoup de matière, le vin est dense, sa texture est très raffinée, et les couches de fruits se succèdent les unes après les autres en un ballet incessant où les sensations de raisins de Corinthe abondent et laissent un côté sirupeux et exotique.
Un vin très long en bouche,,. presque interminable, avec de très belles variations de fruits, et des aspects minéraux qui viennent compléter le tableau.
Incroyable persistance aromatique, qui souligne la majesté de ce vin qui entre à peine dans sa phase de maturité.
Un très beau moment en tout cas !
Pensez donc, une des fameuses sélections parcellaires de chez GUIGAL, la Mouline, que les amateurs du monde entier s'arrachent chaque année au début du mois de Février.
Et le millésime 1991 qui fut l'année du gel a miraculeusement épargné le Beaujolais et le nord de la Vallée du Rhône.
Du coup, c'est un très grand millésime alors que presque partout ailleurs il a mauvaise réputation.
C'est dire combien j'attendais de cette bouteille acquise début 1995 et que j'ai patiemment attendue.
Le nez est extrêmement parlant, mariant les classiques arômes sauvages de garrigue, les notes de cuir, les touches fruitées (prune, pruneau, figue) et d'autres essences comme le menthol, ou des parfums de tabac...
Un bouquet envoûtant !
En bouche, il y a beaucoup de matière, le vin est dense, sa texture est très raffinée, et les couches de fruits se succèdent les unes après les autres en un ballet incessant où les sensations de raisins de Corinthe abondent et laissent un côté sirupeux et exotique.
Un vin très long en bouche,,. presque interminable, avec de très belles variations de fruits, et des aspects minéraux qui viennent compléter le tableau.
Incroyable persistance aromatique, qui souligne la majesté de ce vin qui entre à peine dans sa phase de maturité.
Un très beau moment en tout cas !